Le blog de Philippe35.over-blog.com

La méditation zen est transmise depuis des millénaires par le Bouddha Sakyamuni a des générations de Maîtres et Patriarches, jusqu’à nos jours.  

La méditation zen ou zazen, se pratique assis sur un coussin appelé zafu, de sorte à avoir le bassin plus haut que les genoux. On s’assoit en lotus ou en demi-lotus. Avant de prendre la posture, ou pose les poings fermés autour des pouces sur les genoux. On presse bien les genoux vers le sol et on se balance à partir de la taille avec des mouvements amples de gauche à droite et de droite à gauche. Puis d’amplitude de plus en plus réduite à la fin pour trouver l’axe corporel de la posture. On ne se penche pas en avant ou en arrière. Puis on joint les mains à la hauteur du visage et on s’incline profondément en avant avec tout le corps. Bien prendre appui sur les genoux puis se redresser avec ceux-ci. Le bassin est basculé vers l’avant. On peut alors, en s’appuyant sur les genoux,  ramener le zafu sous les fesses. Le point d’appuis doit être le périnée, qui est le point opposé au sommet du crâne. Il est important que dès le début de zazen on se sente dans une posture complètement stable. Trouver sa stabilité dans une posture assise c’est le point essentiel de zazen.

Au début de zazen, on se concentre sur tous les points importants de la posture : la bascule du bassin en avant, l’appuis des genoux sur le sol , la verticalité de la colonne vertébrale, le menton rentré, l’axe du regard, la langue détendue dans la bouche, les mains sur les cuisses , la détente du corps en général, la respiration abdominale.  Laissez bien reposer le poids du corps reposer sur le zafu au centre du périnée, comme si vous vouliez que l’anus regarde le ciel. A partir de la cinquième vertèbre lombaire, celle qui s’articule au bassin, on étire bien la colonne vertébrale vers le haut, doucement, sans contracter le dos, mais au contraire en relâchant toutes les tensions dans votre corps. On peut s’imaginer qu’un fil invisible tire le sommet du crâne vers le ciel.

Quand le corps est bien stable, l’esprit également devient stable, c’est-à-dire qu’il ne suit pas ses inclinations, mais il reste concentré sur ici et maintenant, sur l’expérience du moment.  Ni plus ni moins. C’est important de développer l’observation, d’observer ce qui se passe,  dans la relation avec son corps. Dans la pratique de zazen, l’important n’est pas qu’il y ait une absence de pensées, d’émotions, mais de retrouver la liberté à chaque instant de traverser ce qui surgit sans y attacher. C’est à  dire aller au-delà de notre esprit limité qui adhère à des notions de moi, de mien et qui crée toutes sortes d’oppositions, de blocage, de conflits.

Laisser derrière soi les pensées, les impressions, les émotions qui passent sans y attacher, c’est retrouver la liberté intérieure et retrouver un conscience libre, neuve à chaque instant.

Pour en savoir plus, cliquez sur le lien suivant : http://club-etre-positif.voila.net/Meditation/sqp_meditation.html

Philippe Legendre

L'humanité a été, est et sera toujours à la recherche du bonheur. Chaque être humain recherche le bonheur. Alors pourquoi les gens souffrent-ils ? Pourquoi les gens ne sont pas heureux ? Ils ne cherchent pas le bonheur là où il est, tout simplement. Avez-vous remarqué comme nous recherchons le confort, la facilité, la pureté, les déplacements lointains, les vacances, l'amour ? Toutes ces choses qui sont susceptibles de nous apporter le bonheur, et je ne vous parle pas de l'argent qu'il faut gagner pour se permettre tout cela.

Reprenons les choses au début. Nous avons des besoins naturels et indispensables si nous voulons rester en vie. Respirer, s'alimenter, éliminer, dormir. Les besoins que les biologistes ont recenser pour parler d'êtres vivants qu'on appellent : le besoin de se protéger, le besoin d'autonomie, le besoin de se reproduire, le besoin de se nourrir, le besoin d'éliminer. Quand un être est assez autonome pour assurer ces besoins on peut le nommer « être vivant ».

Quand ces besoins sont satisfaits, on ressent un certain soulagement, un certain plaisir. Mais ils sont éphémères car ils sont cycliques et reviennent sans cesse, il faut manger et recommencer, etc. La satisfaction de nos besoins primaires sont nécessaire à notre survie.

Viennent ensuite des besoins secondaires, dont on pourraient se passer, car il ne sont pas indispensables à notre vie. Le besoin d'être performant, le besoin de rester jeunes, le besoin d'abondance, d'avoir une maison à soi, d'aller en vacances le plus loin possible, etc. Remarquez que je n'ai rien contre tout cela, mais je remarque que pour satisfaire tous ces besoins, il va falloir beaucoup d'argent. Beaucoup de ruses parfois pour s'en procurer.

Surtout, rappelons-le, ce n'est pas indispensable à notre propre vie. Combien de gens se sont suicidés pour de l'argent, pour garder leur emploi qui leur permettait de soutenir ces projets. Combien de gens vont au travail, sans satisfaction dans celui-ci, juste pour le chèque en fin de mois. Combien de couples restent ensemble alors qu'ils ne se sont jamais entendus, jamais aimés.

Combien de ruses employez-vous chaque jour pour maintenir une situation qui n'a que trop durée. Êtes-vous sûr que vos projets soient vraiment les vôtres ? Que ce ne sont pas ceux des autres. Ceux que l'on vous a inculqué pendant votre enfance, les projets de vos parents, etc. En un mot, posez-vous la question, est-ce que mes projets que met en avant, que je considèrent comme des besoins indispensables. Sont-ils satisfaisants, me procurent-ils un grand bonheur chaque jour. Est-ce que je les apprécient vraiment. Est-ce que le prix à payer n'est pas trop fort.

Si vous êtes en train de vous demander pourquoi vous vous battez pour obtenir le poste qui va vous rapporter plus d'argent et que vous aves déjà tout le confort à la maison, est-ce bien raisonnable de continuer ? Si vous êtes quelqu'un de solitaire et que vous vous êtes marié pour faire comme tout le monde, est-ce bien nécessaire de continuer à supporter votre conjoint qui vous agace chaque jour et sans parler des enfants. Je peux vous parler de milliers de situations complètement incompréhensibles comme celles-ci.

En résumé, nos besoins secondaires, deviennent des projets. Ces projets devront être financés par de l'argent. Et pour gagner de l'argent il va falloir payer de sa personne. Se vendre et même se compromette. Tout en sachant que ce que l'on veut, ne pourra jamais nous satisfaire complètement. Regardez autours de vous, combien d'objet avez-vous acheté, auxquels vous ne prêtez même plus attention maintenant. Ils nous donnent parfois beaucoup d'émotions quand on se les procurent et après, plus rien. Ce ne sont que des moments d'excitation, sans plus. Mais ils nous ne nous rendent pas vraiment heureux.

Donc ce n'est pas à l'extérieur de nous qu'est le bonheur, mais à l'intérieur.

Pour en savoir plus 

Nous sommes tous à la recherche du bonheur link

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La vérité est que nous commençons le processus de vieillissement dès l’instant où nous sortons de l'utérus.Chaque jour de notre vie, notre corps se transforme et régénère de nouvelles cellules. La vitesse de ce processus est très différente selon l’âge.

Depuis de nombreuses années, les chercheurs tente de découvrir l’illusoire "fontaine de jouvence."

Malheureusement, vous êtes en train de lire cet article parce qu’elle n’existe pas.

Quotidiennement, nous sommes bombardés de messages publicitaires qui tentent de nous convaincre qu’il existe de nouveaux produits miracle que nous devons utiliser pour combattre les ravages de Mère Nature.

Demandez à n'importe quel publicitaire et il admettra qu'il y a de plus en plus de publicités conçues pour encaisser d’énormes profits dans un immense marché.

Quel est ce marché ? Le marché des baby-boomers vieillissants.

Dans l’ensemble, nous vivons plus longtemps. Singulièrement, cela peut être une malédiction ou une bénédiction, selon votre perspective.

Certains de nos matériels peuvent être nouveaux et certains peuvent nous rappeler des choses que nous avons peut-être oubliées. Nous ne pouvons peut être pas dire comment nous sommes arrivés sur cette terre, mais nous pouvons certainement déterminer comment et quand nous partirons. Souvenez-vous seulement, vous en avez le contrôle.

Nous devons parler du style de vie, vous l'avez déjà sûrement entendu, mais il faut le répéter. Vous êtes ce que vous mangez. Chaque année, on dénombre en France, pas moins de 40000 décès suite à une crise cardiaque soit près de 110 morts par jour. Il y a plus de 13,5 millions d’américains vivant aujourd'hui qui ont des antécédents de crise cardiaque, angine de poitrine ou une combinaison des deux. 50% d’entre eux ont 60 ans ou plus et 83% des personnes qui meurent d’une crise cardiaque ont 65 ans ou plus.

Aujourd'hui, de nombreux médecins classent la consommation de matières grasses et la cigarette comme les principales causes de décès.

Pour en savoir plus sur le vieillissement et la façon d’atténuer son évolution par des moyens naturels, suivez ce lien : http://club-etre-positif.voila.net/SecretsJeunesse/1tpe/

Et si la vie nous offrait des panneaux de signalisation pour nous guider sur les attitudes à adopter pour être heureux ?

Voici donc 7 panneaux de signalisation pour vous diriger vers le meilleur de soi.

1. Rêvez. Le rêve, la vision ou le projet est le moteur de votre vie. Assurez-vous de toujours œuvrer sur un projet qui vous inspire au plus haut point. Ne pas être habité de ce sentiment de direction est exactement comme voyager sans carte routière et sans nom de rues. Au début, ça peut avoir un petit côté bohème, rebelle et poétique de voyager sans destination, mais à la longue, ne soyez pas surpris si vous aboutissez dans une ville qui a pour nom : Nulle part !

2. Minimum 200, foncez. Tant et aussi longtemps que vous voyez à un minimum de 200 pieds devant vous, foncez. Je fais référence ici à la distance à laquelle nous pouvons voir devant nous lorsque nous conduisons la nuit. Nous ne pouvons pas voir plus de 200 pieds devant nous et pourtant, nous continuons à faire notre chemin. La vie devrait être similaire. Profitez au maximum de vos 200 pieds et vous vous préoccuperez des prochains 200 pieds lorsqu'ils viendront.

3. Visibilité réduite, vraiment ? Prenez garde aux gens qui adoptent une attitude du genre : Je vais y croire quand je vais le voir, car, en réalité, ces gens ne le verront jamais. Ils seront toujours dans une zone de visibilité réduite. La raison est fort simple. C'est qu'il s'agit plutôt de l'attitude inverse qui nous permet d'accéder à la magie de la vie. C'est plutôt : vous ne le verrez que lorsque vous y croirez.

4. Arrêtez – On s'en fout ! À chaque fois que nous nous trouvons dans un endroit où les gens se plaignent sans cesse de leurs conditions du genre «j'suis fatigué, il n'y a pas d'emploi, il n'y a rien à faire dans la région, il fait froid, y mouille encore, il y a beaucoup de circulation, le stationnement est trop loin, etc.», il serait amusant d'avoir un panneau rouge qui sortirait de nulle part avec l’inscription : «Arrêtez – On s'en fout !» Vous êtes votre propre discours. Prenez garde à vos mots, ils deviendront tôt ou tard votre réalité.

5. Il n'y a pas de limites. Les seules limites qui existent sont celles que l'on s'impose à soi-même, vraiment. J'ai rencontré un gars sans jambes qui a escaladé le mont Everest. J'ai vu une jeune femme sans bras ni jambes qui a nagé à travers le lac Érié au Canada avec des prothèses. J'ai rencontré un jeune homme qui a couru l'équivalent de deux marathons par jour pendant 111 jours pour traverser le désert du Sahara sur une distance de 7500 kilomètres. Comprenez bien une chose : les seules limites qui existent sont celles que l'on s'impose à soi-même, vraiment.

6. Zone de karma. Il vous sera presque inévitable d'entrer en contact avec des personnes qui ont des valeurs difficiles à gérer. Ce jour-là, cette rencontre se traduira peut-être en déception, en trahison, en manque de respect, en intimidation ou autres émotions difficiles à gérer pour vous. Sortez de ces relations malsaines et soyez assuré que la vie se chargera de venir leur enseigner, un jour, les bonnes manières. L'important est de ne pas utiliser ces moments difficiles pour s'enfoncer dans un sable mouvant d'excuses.

7. Aujourd'hui. Un vieux proverbe chinois dit ce qui suit : «Le meilleur moment pour planter un arbre était il y a 25 ans et le deuxième meilleur moment est aujourd'hui.» J'adore cette philosophie. Il est si facile de dire qu'il est trop tard pour être à jour avec la vie et nos rêves. Mais en réalité, chaque fois que l'on remet cette décision, nous passons à côté de l'occasion de semer notre vie de rêve, le meilleur de soi. Soyez de ceux qui entreprennent des actions au quotidien face à votre destinée.

Pour être heureux et vivre définitivement le vrai bonheur, cliquez sur le lien suivant : http://club-etre-positif.voila.net/changez/1tpe/

Philippe Legendre

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Réussir sur Internet, c'est possible

=--->  http://www.1tpe.com/index-pro.php?p=philippe3530

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